Pont de monvert
3 participants
Pont de monvert
Peite video sur le pont de monvert 2007.
Nous parlions de Mr MIRAMONT lors de la dégustation de la galette mardi, pour ceux qui ne le connaissent pas vous le découvrirez vers 7minute55 environ.Remarquez sa main gauche il cause et tiens ferme un hameçon en cours de montage....et un clin d'œil à ce regretté Fred que l'on aperçois juste a la fin Des souvenirs pour ceux qui y était.
laissé le temps a la vidéo de démarrer
http://www.telemontlozere.com/v2/archives/festival.php
Nous parlions de Mr MIRAMONT lors de la dégustation de la galette mardi, pour ceux qui ne le connaissent pas vous le découvrirez vers 7minute55 environ.Remarquez sa main gauche il cause et tiens ferme un hameçon en cours de montage....et un clin d'œil à ce regretté Fred que l'on aperçois juste a la fin Des souvenirs pour ceux qui y était.
laissé le temps a la vidéo de démarrer
http://www.telemontlozere.com/v2/archives/festival.php
Re: Pont de monvert
... ça donne envie... et dire que nous avons des amis à PELOUSE... dans le 48 ! ! sans doute que cet été nous irons faire un tour... il y a un très joli site sur la Lozère et ses rivières d'ailleurs... mais j'ai perdu l'adresse...
Invité- Invité
Re: Pont de monvert
pour l adresse regarde dans le bac de la tondeuse peut etre
did- Ours mal léché
- Messages : 3966
Date d'inscription : 21/05/2008
Age : 58
Re: Pont de monvert
heu, je crois qu'ils sont fauchés!!
alain- cormoran a pattes rouges
- Messages : 3869
Date d'inscription : 31/03/2008
Age : 60
Localisation : loin du Président
Emploi/loisirs : photographe de charme
Re: Pont de monvert
Arrêtez la pauvre vous êtes vache !!!! Murielle n'écoute pas ces gas-z'ont bête, ça foulrrage de lire leurs bêtises, tu arrivera à tourner l'alpage......
Re: Pont de monvert
La pauvre elle va ruminer tout cela
alain- cormoran a pattes rouges
- Messages : 3869
Date d'inscription : 31/03/2008
Age : 60
Localisation : loin du Président
Emploi/loisirs : photographe de charme
Re: Pont de monvert
et encore j espere qu elle a pas le rhume des foins
did- Ours mal léché
- Messages : 3966
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Age : 58
Re: Pont de monvert
nan nan, je ne rumine plus depuis longtemps.... j'ai pas de temps à perdre... en tant que bélier, j'ai plus à faire... pas de souci avec moi... et le monde masculin ça me connait ! !
Invité- Invité
Re: Pont de monvert
Ma chère épouse cherche un ou une pêcheur (se) pour lui faire connaaître la Sorgue, moi je préfèrerais un eunuque mais autrement je fais confiance! (cest pas des conneries cette petite annonce!
Invité- Invité
Re: Pont de monvert
La Sorgue kézako chte chose la...........joan miquel a écrit:Ma chère épouse cherche un ou une pêcheur (se) pour lui faire connaaître la Sorgue, moi je préfèrerais un eunuque mais autrement je fais confiance! (cest pas des conneries cette petite annonce!
Ton épouse veux découvrir La sorgue, mais la quelle aveyron ou vaucluse ?, et puis toi on s'en moque que tu préfère l' eunuque, elle as dit la Sorgue.
Alors je vais lui faire découvrir la sorgue du vaucluse........sitot demandé sitôt répondu
Re: Pont de monvert
Le stress des poissons d'élevage à l'étude
Une équipe rennaise taquine la truite
[i][i]Patrick Prunet anime l'équipe physiologie
de l'adaptation et du stress chez les poissons, à l'Inra[/i][/i]
Le stress a du bon mais pas forcément chez le poisson ! En particulier quand il s'agit de stress chronique chez des espèces destinées à l'aquaculture. La résistance au stress et aux maladies chez la truite, le bar, la dorade et l'huître est à l'honneur dans un projet européen coordonné par une équipe de recherche rennaise, également membre du réseau Ouest-genopole®.
Nous ne sommes pas les seuls, humains pressés et urbanisés, à être touchés par le stress. Les animaux, et plus particulièrement ceux d'élevage, sont aussi concernés. La Direction générale des pêches de l'Union européenne s'est récemment mobilisée en faveur des espèces d'intérêt aquacole. Elle a lancé le projet Aquafirst (démarré en novembre 2004 pour une durée de trois ans et demi) qu'elle finance à hauteur de 3,8 millions d'euros (sur les 5,8 que va coûter le projet). Favoriser l'aquaculture est en effet un moyen de limiter la surpêche des espèces d'intéret, qui fait actuellement l'objet de nombreux débats et négociations entre professionnels, scientifiques et décideurs. "Permettre la sélection de caractères de résistance au stress et aux maladies augmenterait, certes, la productivité des élevages, explique Patrick Prunet, animateur de l'équipe physiologie de l'adaptation et du stress chez les poissons à l'unité Inra Scribe. Mais l'objectif de la DG pêche est surtout de diminuer le recours aux traitements antibiotiques et antistress, ce qui augmenterait la qualité des produits issus de l'aquaculture".
Le stress et les gènes
La stratégie choisie est classique. Elle est utilisée depuis plus de dix ans chez d'autres animaux d'élevage comme le porc ou le poulet, mais n'est mise à profit chez les poissons et les crustacés que depuis trois ou quatre ans. Elle consiste à combiner l'analyse des produits d'expression des gènes et l'étude génétique des caractères de résistance au stress et aux maladies, pour mettre au point des méthodes de sélection assistée par marqueurs génétiques des animaux destinés aux croisements. L'équipe de recherche rennaise est déjà réputée pour l'étude de l'expression des gènes chez la truite. Elle a été choisie pour coordonner le projet européen. "Le projet est ici beaucoup plus ambitieux, puisqu'il concerne non seulement la truite mais aussi le bar, la dorade et l'huître, poursuit Patrick Prunet. Dix sept partenaires sont impliqués dans toute l'Europe".
Pour mener à bien ses recherches, l'équipe de Patrick Prunet utilise l'une des plates-formes mises en place dans le cadre du réseau Ouest-genopole : la plate-forme transcriptome de Rennes. "L'accès à cette plate-forme réseau m'a aidé à conforter la position de l'équipe au moment des négociations au niveau européen. Pouvoir bénéficier de moyens humains et matériels a beaucoup contribué au fait que la coordination du nous soit confiée. projet. Nous avions aussi besoin de ressources en bioinformatique que nous avons trouvé en interne auprès de nos collègues de l'Inra à Toulouse. Des liens étroits seront aussi mis en place avec la plate-forme bioinformatique de Ouest-génopole"
Applications dans dix ans
Concernant l'application de ces travaux de recherche, Patrick Prunet parle de recherche à moyen terme. "Le transfert vers les professionnels de la sélection aquacole se fera d'ici une petite dizaine d'années. Pour l'instant nous travaillons peu avec eux mais nous avons prévu de les tenir au courant de l'avancement de nos travaux.".
Ainsi se retrouvent associé dans un même projet à la fois des spécialistes européens de la physiologie, de la pathologie et de la génétique des poissons et des huîtres, mais aussi des spécialistes de l'étude des génomes, ou de la génomique appliquée à la sélection génétique chez les animaux de ferme. Tous ont accepté de mettre à disposition leurs compétences, acquises chez les mammifères et les bactéries, aux espèces aquacoles .
NB
Contact :
[b][b]Patrick Prunet, station Inra Scribe, tél. : 02 23 48 50 14,
patrick.prunet@rennes.inra.fr [/b][/b]
Une équipe rennaise taquine la truite
[i][i]Patrick Prunet anime l'équipe physiologie
de l'adaptation et du stress chez les poissons, à l'Inra[/i][/i]
Le stress a du bon mais pas forcément chez le poisson ! En particulier quand il s'agit de stress chronique chez des espèces destinées à l'aquaculture. La résistance au stress et aux maladies chez la truite, le bar, la dorade et l'huître est à l'honneur dans un projet européen coordonné par une équipe de recherche rennaise, également membre du réseau Ouest-genopole®.
Nous ne sommes pas les seuls, humains pressés et urbanisés, à être touchés par le stress. Les animaux, et plus particulièrement ceux d'élevage, sont aussi concernés. La Direction générale des pêches de l'Union européenne s'est récemment mobilisée en faveur des espèces d'intérêt aquacole. Elle a lancé le projet Aquafirst (démarré en novembre 2004 pour une durée de trois ans et demi) qu'elle finance à hauteur de 3,8 millions d'euros (sur les 5,8 que va coûter le projet). Favoriser l'aquaculture est en effet un moyen de limiter la surpêche des espèces d'intéret, qui fait actuellement l'objet de nombreux débats et négociations entre professionnels, scientifiques et décideurs. "Permettre la sélection de caractères de résistance au stress et aux maladies augmenterait, certes, la productivité des élevages, explique Patrick Prunet, animateur de l'équipe physiologie de l'adaptation et du stress chez les poissons à l'unité Inra Scribe. Mais l'objectif de la DG pêche est surtout de diminuer le recours aux traitements antibiotiques et antistress, ce qui augmenterait la qualité des produits issus de l'aquaculture".
Le stress et les gènes
La stratégie choisie est classique. Elle est utilisée depuis plus de dix ans chez d'autres animaux d'élevage comme le porc ou le poulet, mais n'est mise à profit chez les poissons et les crustacés que depuis trois ou quatre ans. Elle consiste à combiner l'analyse des produits d'expression des gènes et l'étude génétique des caractères de résistance au stress et aux maladies, pour mettre au point des méthodes de sélection assistée par marqueurs génétiques des animaux destinés aux croisements. L'équipe de recherche rennaise est déjà réputée pour l'étude de l'expression des gènes chez la truite. Elle a été choisie pour coordonner le projet européen. "Le projet est ici beaucoup plus ambitieux, puisqu'il concerne non seulement la truite mais aussi le bar, la dorade et l'huître, poursuit Patrick Prunet. Dix sept partenaires sont impliqués dans toute l'Europe".
Pour mener à bien ses recherches, l'équipe de Patrick Prunet utilise l'une des plates-formes mises en place dans le cadre du réseau Ouest-genopole : la plate-forme transcriptome de Rennes. "L'accès à cette plate-forme réseau m'a aidé à conforter la position de l'équipe au moment des négociations au niveau européen. Pouvoir bénéficier de moyens humains et matériels a beaucoup contribué au fait que la coordination du nous soit confiée. projet. Nous avions aussi besoin de ressources en bioinformatique que nous avons trouvé en interne auprès de nos collègues de l'Inra à Toulouse. Des liens étroits seront aussi mis en place avec la plate-forme bioinformatique de Ouest-génopole"
Applications dans dix ans
Concernant l'application de ces travaux de recherche, Patrick Prunet parle de recherche à moyen terme. "Le transfert vers les professionnels de la sélection aquacole se fera d'ici une petite dizaine d'années. Pour l'instant nous travaillons peu avec eux mais nous avons prévu de les tenir au courant de l'avancement de nos travaux.".
Ainsi se retrouvent associé dans un même projet à la fois des spécialistes européens de la physiologie, de la pathologie et de la génétique des poissons et des huîtres, mais aussi des spécialistes de l'étude des génomes, ou de la génomique appliquée à la sélection génétique chez les animaux de ferme. Tous ont accepté de mettre à disposition leurs compétences, acquises chez les mammifères et les bactéries, aux espèces aquacoles .
NB
Contact :
[b][b]Patrick Prunet, station Inra Scribe, tél. : 02 23 48 50 14,
patrick.prunet@rennes.inra.fr [/b][/b]
Invité- Invité
Re: Pont de monvert
Pourquoi ton épouse, Joan Miquel, ne chercherait-elle pas une pêcheuse pour aller sur la Sorgue ? ? ? ? Tu serais ainsi rassuré ! ! ! et puis, elles viendraient au championnat national des nanas et pendant ce temps là, tu pourrais aller pêche avec tes copains... ? ? ? Tu vois, je suis arrangeante comme nana môa....
Invité- Invité
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