JAMES LEE BURKE SWAN PEAK

[alain]

IL EST SORTI.

Présentation de l'éditeur
Dave Robicheaux, son épouse Molly et son ami Clete Purcel tentent d’oublier le traumatisme de Katrina en s’immergeant dans la nature somptueuse et sauvage du Montana. Lors d’une partie de pêche, Clete est pris à parti par deux individus qui l’accusent d’avoir pénétré sur une propriété privée. L’un d’eux reconnaît Clete : une affaire sordide qui remonte à de nombreuses années, mais que Clete n’est jamais parvenu à vraiment oublier, la mort d’un proxénète dans un accident d’avion.
Rapidement s’installe une ambiance malsaine : les deux individus ne cessent de croiser la route de Dave, Molly ou Clete, et sont toujours à deux doigts de déclencher des incidents. Leur patron, Ridley Wellstone, n’a pour sa part rien d’un enfant de cœur ; cet homme défiguré est réactionnaire et avide, représentatif de cette « Amérique qui fait peur ».
Dans ce contexte se produisent plusieurs faits-divers horribles, qui n’ont apparemment en commun que les hommes de main de Wellstone. Coïncidences ? Préjugés contre ces Texans désagréables qui ne cherchent pas à se faire aimer ? Clete et Dave acceptent d’aider le shérif local, mais Robicheaux a fort à faire pour empêcher son ami, plus borderline que jamais depuis que son passé a refait surface inopinément, de s’attirer les ennuis de plus en plus graves…

Au-delà des enjeux de notre époque (écologie, capitalisme sauvage, impunité), le nouveau roman de James Lee Burke traite de la perte de l’innocence, de l’irruption de la corruption au cœur même du Paradis. Splendeur d’une Nature vierge souillée. Sensibilité à fleur de peau de Dave et Clete, passé violent qui ressurgit là où on l’attend le moins, tempo assez lent qui installe une atmosphère dense et évocatrice, climat inquiétant qui s’installe insidieusement… la musique puissante et hypnotique de Swan Peak évoque irrésistiblement Twin Peaks.
Biographie de l'auteur
James Lee Burke est né à Houston (Texas) le 5 décembre 1936. Il vit entre New Iberia (Louisiane) et Missoula (Montana). Il est le créateur du mythique enquêteur Dave Robicheaux, récemment incarné au cinéma par l’extraordinaire Tommy Lee Jones dans le film de Bertrand Tavernier Dans la brume électrique et qui aura permis à un plus vaste public de découvrir son œuvre.

[did]

ben écoute je viens juste d'attaquer le premier
et pour le moment j'accroche pas

sa me fait penser à ces dizaine de policier qu'on vois à la télé avec des flics aussi voyou que les voyou
en plus sa se passe en ville comme 99% des policier à la tele
je crois que je n'aime que le genre nature whritting

enfin je vais bien voir j'ai pas lu beaucoup de page

[alain]

Continue, on accroche vraiment à Dave Robicheaux et à sa famille et surtout l'ambiance superbe, vas y accroche toi et tu verras superbe auteur.

[did]

j'ai fini le premier

polar noir avec des flics aussi voyou que les voyous
le senario se passe en ville c'est plutôt assez noir et sombre



l'écrivain est très bon, mais il exprime la réalité des cul de basse fosse des grande ville américaine on a l'impression un peu de suivre une des multiples séries américaine du moment avec sa drogie, ces meurtres et tous ceux qu'il y a de plus plus moche et vil dans ces grande ville là

dave robicheau fait un peu penser a ces héros de film policier ou sa canarde à toc ou règne le dent pour dent et oeil pour oeil
le genre bruce willis qui fonce tête baissé dans le tas et flinge à tous va

j'ai attaqué le deuxième avec un changement de décor avec alternance entre le bayou et la ville
et la j'aime mieux
j'aimerais qu'il reste un peu plus dans la bayou et un peu moins dans les histoires de ville

sa change du nature writting de craig johnson

[alain]

je te l'avais dit, c'est un super auteur. C'est vrai que j'aime bien lorsqu'il est dans ses bayous, en tout cas des superbes descriptions de paysage et surtout l'ambiance.

[did]

mais je préfère craig

ah oui j'oublie, en plus c'est un pochtron le dave robicheau

[alain]

C'était (il ne boit plus)

[did]

heu pour le moment entre le premier et la première partie du deuxieme il picole sec

[alain]

Au début c'est un alcolo après...

[did]

c'est un camé ...

[alain]

léon

[did]

heu j'avais noté que dans deux ou trois description il disait n'importe quoi en donnant des images qui ne vont pas avec la vérité des choses puis me suis dit que c'était pour paraitre plus jolie et plus poétique mais la je viens de tomber sur un phrase ou encore une fois il en rajoute trop et c'est n'importe quoi.

"les anguilles étaient longues et dodues, les écailles couleur d'argents brillant et les ouies rouges elles se contortionnaient fouettant les boutons d'or comme un noeud de serpent"

rien ne vous gène dans cette phrase ?

pour moi il y a au moins deux conneries monumental

[did]

et hop fini le deuxième demain j'attaque le troisième
c'est vrai qu'ont s'attache au personnage

[gill]

C'est peut-être le traducteur qui n'a jamais vu une anguille !
Traduire mot à mot ce n'est pas toujours possible , loin s'en faut .

[alain]

Té, vé, il est revenu!!

[gill]

Non non toujours là , mon beatnick !
Je me suis commandé quelques bouquins de Thomas Mc Guane d' OCCAS et " Enfants de poussiére " est autour de 15€ en ce moment ................. !!

[alain]

Vade Retro Satanas !

[gergy]

Je vois, des amateurs de littérature américaine !
Dans cette veine, vous connaissez certainement Les Aventures de Nick Adams d'Hemingway et sa séance de pêche à la sauterelle ? J'aime aussi beaucoup les grands espaces dans les livres de McCarthy (Méridien de sang, Trilogie des confins) ou de Jim Harrison (Légendes d'automne).

[gill]

Alors tu es le bienvenue rentre ici gergy du plat- pays .

Il est jaloux mon beatnick d'Alain ? Je lui fais acheter des livres dans des éditions de luxe et Mossieur n'est pas heureux !
Au fait , tu as mis mes aquarelles sous cadre !!!

[alain]

Bienvenue Gergy si tu aimes Harrison, tu es admis d'office.
Par contre je ne connais pas la littérature hollandaise, peux tu nous en dire plus ?

[gergy]

Non, je ne maîtrise pas vraiment le sujet ...

[alain]

Ça tombe à plat, tant pis
As tu les Gierach ? Si tu as le temps va voir le site des éditions Gallmeister, vraiment très bien. Par contre un conseil gratuit, méfie toi de Gilles s'il te conseille d'acheter des livres très chers!

[gergy]

J'ai un Gierach (zen ... ) et un Abbey (désert solitaire) encore à lire. Merci pour le site, un éditeur et son équipe drôlement dynamique on dirait ... Mais comme j'ai la chance de pouvoir lire en anglais (com'y s'la pête !), je vais essayer de me trouver les VO.

[did]

je viens de finir le troisième livre de la série de james lee burke
il est beaucoup mieux que les premiers ont sent que l'auteur deviens vraiment bon
je me suis vraiment régalé
de plus il parle pas mal de nature il y a même une partie de pêche à la mouche
par contre c'est plus noir que tous les autres livres que j'ai pu lire
le héro est pas un tendre et c'est dent pour dent oeil pour oeil

[alain]

Tout est bon rien à jeter chez lui.
Pour Gergy, quelle chance de pouvoir lire en anglais, tu as aussi les craig johnson pas tous sorti en france

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