appel de Philippe Nicolas .
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appel de Philippe Nicolas .
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Appel à souscription
Usage de la cabane et autres essentiels
- pour la suite du monde -
Disposer d’une cabane au bord de la rivière : voilà ce qui ferait mon cœur amoureux.
Philippe Nicolas
Je me permets de vous adresser ce courrier pour vous soumettre un projet de restauration symbolique à partir d’une très vieille cabane en Seine-Maritime, en souhaitant que vous pourrez vous y associer en répondant à l’appel de souscription ou de quelque manière que ce soit.
M’interrogeant jusqu’à la soutenance d’une thèse en sciences de l’éducation en 2007, à Paris 8, sur une façon d’habiter la Terre de manière la plus harmonieuse possible, le prêt (sous la forme d’un bail renouvelable) d’une cabane endommagée me pousse à une aventure : restaurer cette cabane et consigner dans un ouvrage Usage de la cabane et autres essentiels – pour la suite du monde, cette expérience de vie dans la perspective de valeurs à transmettre. Actuellement professeur des écoles et chargé de cours à l’université de l’Ileps en tant que professeur, je poursuis mes recherches sur la transmission au niveau de mes classes ou groupes d’élèves.
Comment transmettre ce que nous avons de meilleur à offrir au monde ? pourrait être aujourd’hui ma question de recherche. Mon projet de cabane s’inscrit dans cette perspective de sens, d’avenir en réinvestissant les trois grands bannis de notre société moderne, le silence, la solitude, la nature pour en dégager des valeurs créatives pour la suite du monde. En bref, un « revivre à la campagne » !
Vous l’aurez compris, ne cherchant pas à réaliser ce projet seul, à la recherche de partenaires qui pourraient s’associer à ce projet de plusieurs manières - prodiguer des conseils techniques sur le terrain, prêter du matériel spécifique, donner des matériaux (bois, ardoises, chanvre), offrir son temps, ses compétences (menuisier, couvreur essentiellement), voire participer financièrement - je propose également un appel à la souscription pour la publication de l’ouvrage numéroté, signé Usage de la cabane et autres essentiels – pour la suite du monde.
Chacun des partenaires précité recevrait fin 2013 ou début 2014, ledit ouvrage qui comporte deux livres dont le premier est en phase d’écriture. Ce livre premier, Rêve de cabane donne à lire la « rêverie salutaire et énergétique » que suscite cette cabane. Y est abordé l’imaginaire qui prête à rêver : la cabane, la rivière à saumon, les arbres fruitiers, le maniement des outils, la cuisson des aliments sur le poêle, la vie dans la nature, le canotage, la pêche à la mouche, etc. Mention est faite dans cette rêverie de la rencontre avec des artisans – bourrelier, relieur, maître lissier, facteur de canne à mouche -, des artistes - peintre, sculpteur - et des amis associés. Si cette cabane est un repli, un refuge, un ermitage, certains ont dit, nous sommes quelques-uns à défendre cette cabane tel un lieu élu, un ici sur terre magnifique d’une gde la cabane en faisant expérience des pistes co-construites avec F. Cayol, écrivain naturaliste et nomade :
Partir léger dans un joli coin pour dessiner,
Prendre de la distance par rapport aux bruits de la ville
Répéter avec persévérance (écriture, dessin, marche, écoute, etc.)
Se retrouver seul dans la nature
Prendre de la hauteur
Utiliser ses dons
Se donner du temps pour lire et s’inspirer
Laisser une trace de son vivre (dessins, écrits, témoignages)
Consulter l’héritage des cultures premières
Aimer la vie sauvage et la défendre.
Toute une réflexion du quotidien de et dans la cabane sera consignée dans le journal de bord en faisant état de la joie simple à se sentir partie intégrante de l’ordre mobile du monde, dans la pratique de la pêche à la mouche, du canoë, de la cuisson des aliments sur le poêle, etc. De cette communication sensible avec la vie, Un été de pêche et de cabane dressera un inventaire poétique illustré de la faune et de la flore, se voulant révéler la notion vitale d’écosystème.
Je veux faire le pari que cette aventure de « restauration de cabane » sur le mode d’une coopération ouverte et consentie, s’étend à une restauration plus large : petite œuvre de cabane pour une œuvre de libération, « nous sommes unis de manière planétaire et notre destin est commun à l’écologie globale de notre civilisation ».
Je reste à votre disposition pour de plus amples renseignements et vous remercie déjà pour l’attention que vous aurez su porter à mon courrier et cet appel à souscription.
Je vous prie de croire en mes salutations respectueuses.
Philippe Nicolas
Philippe Nicolas
24 avenue des Tilleuls
95 350 St Brice-sous-Forêt
philippe.saumon@laposte.netmarande simplicité - cabane de bois, de briques rouges et de tuiles en ardoise, bâtie sur une presqu’île aux arbres fruitiers, aux oiseaux bavards, sertie par les eaux rieuses de la Béthune - pour saisir le sens de l’enjeu : savoir-vivre sur la planète Terre. Le livre second, Un été de pêche et de cabane sera l’occasion sur le terrain, durant un été entier célébré dans la cabane restaurée de faire résonner la voix - la voie ? - il/
Appel à souscription
Usage de la cabane et autres essentiels
pour la suite du monde -
Je verse la somme de 65 euros en chèque à l’ordre de Philippe Nicolas pour l’appel à souscription de la publication de l’ouvrage Usage de la cabane et autres essentiels – pour la suite du monde – (chèque débité en mars 2013), à l'adresse suivante :
Philippe Nicolas
24 avenue des Tilleuls
95 350 St Brice-sous-Forêt
Je recevrais ledit ouvrage fin 2013, début 2014, à l’adresse suivante :
Comme vous pouvez vous l'imaginer , je suis partant pour le projet de Philippe Nicolas . Je pense que cela devrait séduire nombre d'entre-vous à commencer par Bubule , car voilà un joli projet poue ses éléves . Gill .
gill- Vieux Sage de la grotte
- Messages : 4819
Date d'inscription : 06/04/2008
Age : 76
Localisation : Piquebussargues le haut
Emploi/loisirs : de toutes les couleurs
Re: appel de Philippe Nicolas .
c'est un beau projet et très intéressant, dommage qu'il soit si loin de chez nous!
alain- cormoran a pattes rouges
- Messages : 3869
Date d'inscription : 31/03/2008
Age : 60
Localisation : loin du Président
Emploi/loisirs : photographe de charme
Re: appel de Philippe Nicolas .
Hélas oui ! Mais voila un joli projet de chantier de vacances pour les jeunes pêcheurs . Il devrait contacter les clubs de pêche afin de rameuter un maximum de pêcheurs et hélas le nerf de la guerre ; l'argent .
gill- Vieux Sage de la grotte
- Messages : 4819
Date d'inscription : 06/04/2008
Age : 76
Localisation : Piquebussargues le haut
Emploi/loisirs : de toutes les couleurs
Re: appel de Philippe Nicolas .
Le projet de Philippe Nicolas remanié et ( peut-être , croisons les doigts ) en partenaria avec l'association "
Humus " .... " http://www.zegreenweb.com/sinformer/lancement-de-la-fondation-humus-pour-la-biodiversite,46626 ".
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Revivre à la campagne pour revivre sur Terre
Imaginaire symbolique de la Terre à partir de la restauration d'une très vieille cabane.
M’interrogeant jusqu’à la soutenance d’une thèse en sciences de l’éducation en 2007, à Paris 8, sur une façon d’habiter la Terre de manière la plus harmonieuse possible, le prêt renouvelable tous les trois ans d’une cabane endommagée me pousse à une aventure : restaurer cette cabane et consigner en un ouvrage cette expérience de vie dans la perspective de valeurs à transmettre. Je m’explique.
Actuellement professeur des écoles et chargé de cours à l’université de l’Ileps en tant que professeur, je poursuis mes recherches sur la transmission au niveau de mes classes ou groupes d’élèves. Comment transmettre ce que nous avons de meilleur à offrir au monde ? pourrait être aujourd’hui ma question de recherche. Dans cette perspective, mon projet de cabane se veut dégager des valeurs créatives pour la suite du monde, en réinvestissant les trois grands bannis de notre société moderne, à savoir : le silence, la solitude, la nature. En bref, un « revivre à la campagne ».
Conjointement à cette restauration « physique » de la cabane, j’écris un ouvrage en deux livres, Usage de la cabane et autres essentiels – pour la suite du monde. Le livre premier, en phase d’écriture, Rêve de cabane donne à penser la « rêverie salutaire et énergétique » de cette cabane. Y est abordé l’imaginaire qui prête à rêver de cette entreprise : la cabane, la rivière à saumon, les arbres fruitiers, le maniement des outils, la cuisson des aliments sur le poêle, la vie dans le monde ouvert, l’invention de mon temps dans le canotage, la pêche à la mouche, etc. Mention est faite dans cette rêverie de la rencontre avec des artisans – bourrelier, relieur, maître lissier, facteur de canne à mouche -, des artistes - peintre, sculpteur - et des amis associés à l’aventure. De cette cabane, certains ont dit qu’elle est un repli, un refuge, un ermitage ; nous sommes quelques-uns à la défendre tel un lieu élu, un ici sur terre magnifique d’une grande simplicité - cabane de bois, de briques rouges et de tuiles en ardoise, bâtie sur une presqu’île aux arbres fruitiers, aux oiseaux bavards, sertie par les eaux rieuses de la Béthune - pour saisir le sens d’un enjeu : savoir-vivre sur la planète Terre.
Le livre second, Un été de pêche et de cabane sera l’occasion, durant un été entier célébré sur le terrain de faire résonner la voix - la voie ? - de la cabane en faisant expérience des pistes co-construites avec F. Cayol, écrivain naturaliste et nomade :
Partir léger dans un joli coin pour dessiner,
Prendre de la distance par rapport aux bruits de la ville
Répéter avec persévérance (écriture, dessin, marche, écoute, etc.)
Se retrouver seul dans la nature
Prendre de la hauteur
Utiliser ses dons
Se donner du temps pour lire et s’inspirer
Laisser une trace de son vivre (dessins, écrits, témoignages)
Consulter l’héritage des cultures premières
Aimer la vie sauvage et la défendre.
Toute une réflexion du quotidien de et dans la cabane s’écrira en faisant état de la joie simple à se sentir partie intégrante de l’ordre mobile du monde, dans la pratique de la pêche, du canoë, de la cuisine au feu de bois, etc. De cette communication sensible avec la vie, Un été de pêche et de cabane dressera un inventaire poétique illustré de la faune et de la flore, se voulant révéler la notion vitale d’écosystème. Je veux faire le pari que cette aventure de « restauration de cabane » sur le mode d’une coopération ouverte et consentie, s’étend à une restauration plus large : œuvre de cabane pour une œuvre de libération, « nous sommes unis de manière planétaire et notre destin est commun à l’écologie globale de notre civilisation ».
Philippe Nicolas
Humus " .... " http://www.zegreenweb.com/sinformer/lancement-de-la-fondation-humus-pour-la-biodiversite,46626 ".
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Revivre à la campagne pour revivre sur Terre
Imaginaire symbolique de la Terre à partir de la restauration d'une très vieille cabane.
M’interrogeant jusqu’à la soutenance d’une thèse en sciences de l’éducation en 2007, à Paris 8, sur une façon d’habiter la Terre de manière la plus harmonieuse possible, le prêt renouvelable tous les trois ans d’une cabane endommagée me pousse à une aventure : restaurer cette cabane et consigner en un ouvrage cette expérience de vie dans la perspective de valeurs à transmettre. Je m’explique.
Actuellement professeur des écoles et chargé de cours à l’université de l’Ileps en tant que professeur, je poursuis mes recherches sur la transmission au niveau de mes classes ou groupes d’élèves. Comment transmettre ce que nous avons de meilleur à offrir au monde ? pourrait être aujourd’hui ma question de recherche. Dans cette perspective, mon projet de cabane se veut dégager des valeurs créatives pour la suite du monde, en réinvestissant les trois grands bannis de notre société moderne, à savoir : le silence, la solitude, la nature. En bref, un « revivre à la campagne ».
Conjointement à cette restauration « physique » de la cabane, j’écris un ouvrage en deux livres, Usage de la cabane et autres essentiels – pour la suite du monde. Le livre premier, en phase d’écriture, Rêve de cabane donne à penser la « rêverie salutaire et énergétique » de cette cabane. Y est abordé l’imaginaire qui prête à rêver de cette entreprise : la cabane, la rivière à saumon, les arbres fruitiers, le maniement des outils, la cuisson des aliments sur le poêle, la vie dans le monde ouvert, l’invention de mon temps dans le canotage, la pêche à la mouche, etc. Mention est faite dans cette rêverie de la rencontre avec des artisans – bourrelier, relieur, maître lissier, facteur de canne à mouche -, des artistes - peintre, sculpteur - et des amis associés à l’aventure. De cette cabane, certains ont dit qu’elle est un repli, un refuge, un ermitage ; nous sommes quelques-uns à la défendre tel un lieu élu, un ici sur terre magnifique d’une grande simplicité - cabane de bois, de briques rouges et de tuiles en ardoise, bâtie sur une presqu’île aux arbres fruitiers, aux oiseaux bavards, sertie par les eaux rieuses de la Béthune - pour saisir le sens d’un enjeu : savoir-vivre sur la planète Terre.
Le livre second, Un été de pêche et de cabane sera l’occasion, durant un été entier célébré sur le terrain de faire résonner la voix - la voie ? - de la cabane en faisant expérience des pistes co-construites avec F. Cayol, écrivain naturaliste et nomade :
Partir léger dans un joli coin pour dessiner,
Prendre de la distance par rapport aux bruits de la ville
Répéter avec persévérance (écriture, dessin, marche, écoute, etc.)
Se retrouver seul dans la nature
Prendre de la hauteur
Utiliser ses dons
Se donner du temps pour lire et s’inspirer
Laisser une trace de son vivre (dessins, écrits, témoignages)
Consulter l’héritage des cultures premières
Aimer la vie sauvage et la défendre.
Toute une réflexion du quotidien de et dans la cabane s’écrira en faisant état de la joie simple à se sentir partie intégrante de l’ordre mobile du monde, dans la pratique de la pêche, du canoë, de la cuisine au feu de bois, etc. De cette communication sensible avec la vie, Un été de pêche et de cabane dressera un inventaire poétique illustré de la faune et de la flore, se voulant révéler la notion vitale d’écosystème. Je veux faire le pari que cette aventure de « restauration de cabane » sur le mode d’une coopération ouverte et consentie, s’étend à une restauration plus large : œuvre de cabane pour une œuvre de libération, « nous sommes unis de manière planétaire et notre destin est commun à l’écologie globale de notre civilisation ».
Philippe Nicolas
gill- Vieux Sage de la grotte
- Messages : 4819
Date d'inscription : 06/04/2008
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Localisation : Piquebussargues le haut
Emploi/loisirs : de toutes les couleurs
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