Re: Panique a Piquebussargues

[gill]

[alain]

Trop bon, encore

[Invité]

(..) Trois hommes, deux grand gaillards et un freluquet sautèrent du fourgon et prirent la pose au cas des journalistes auraient trainé dans les parrages. Mais pas un de ces promoteurs de délires épistoliers ne se présenta.
Lavion les regardait avec dédain : ses pires cauchemards étaient devant lui ! Yoyan de Bercalone, Didon d'Oursquebise et le petit ingénieur des ponts et chaussées aux chaussures à semelle compensées Coni de Racal Nubir : «Salut Lavion, ne crois tu pas qu'en de telles circonstances la marée chaussée aurait du mettre des chausses de mares ! ». Coni se mit à rire en tournant la tête entre ses épaules. Yoyo et Didon accoudés au fourgon pouffaient comme le font les Grouses au petit matin de l'Easter Monday. Un quart d'heure plus tard, Lecompte sortit de ses ténébreuses pensées acoustiques et en fit de même pour détendre l'atmosphère mais en vain.
Lavion restait droit dans ses bottes en se rémémorant ce fameux bal des pompiers où il avait été humilié par ses trois oiseaux.

«Bon les gars», cria Coni «sortez la pauvre femme de ce mauvais pas !»
Yoyan sauta avec légéreté et grâce au dessus du rû. Il perdit néanmoins son chapeau à large arbor (publicité, faut bien vivre) qui découvrit une calvitie en phase d'adolescence prononcée. Les deux costauds se mirent à genoux, sortirent sans faiblir la parisienne et l'allongèrent sur l'herbe grillée par ce maudit soleil du sud.
Elle ne bougeait absolument pas au grand dame de Lavion qui angoissait de plus en plus. Lecompte sortit son brevet de secouriste et le présenta à son chef «laissez moi faire, je vais tenter de la ranimer par une toute nouvelle méthode».
«Bon ,moi je vais prévenir les pompiers» s'exclama Coni en adressant un regard malicieux qui en disait long à Lavion qui pour sa part bouillait comme une Tanche dans un marmite à Grondins (évidemment pas la même tanche que celle qui se moquait de la Carpe dans l'épisode précédent).

Lecompte retira sa veste et commença des incantations en se tenant à cloche pieds. Pendant plus d'une demi-heure, il chanta des phrases incompréhensibles sans pour autant obtenir de résultats tangibles ce qui rendit Coni complètement hystérique. Hurlant comme une bête, il courait en tout sens et finit par plonger dans le fourgon.

Yoyan et Didon étaient peinés pour leur supérieur à qui il arrivait souvent de «pêter un câble» comme l' épervier nain chassant des passereaux un beau matin d'hiver au dessus de la centrale de Langogne. Lavion ne dissimulait pas une satisfaction presque démesurée : Enfin, il la tenait sa revanche du bal des Pompiers !

Une demi-heure plus tard, la portable de Lavion sonna : «Lavion à l'appareil, parlez immédiatement ou taisez-vous à jamais !» L'interlocuteur raccrocha donc et le capitaine de gendarmerie dût rappeler son interlocuteur «Bon, lieutenant vous en êtes où ?»
«On vient de crever sur le chemin des Javelines» annonca le sapeur-pompiers de la réserve de Picquebusse.
«Mais bon sang, dépechez-vous non de non, la vie d'une femme est en jeu» cria Lavion excédé.
«Comme au bal des pompiers...» retorqua narquois le lieutenant.
Lavion n'eut pas le temps de broncher quand il vit surgir Coni avec une assiette de concombres finement coupés en rondelles.
S'asseyant au bord du rû, il posa délicatement les fines tranches de ces plantes potagères sur le visage d'argile de la pauvrette.

«Voulez-vous bien m'apporter mon peignoire, mes bigoudis et le Monde je vous prie» dit doucement la parisienne en se relevant avec grâce.

Elle était vivante !

Coni jubilait et sprinta à nouveau vers le camion orange. Parmi les cônes, les panneaux de signalisation et les pelles de repos , il dut se rendre à l'évidence que les bigoudis et les peignoires n'étaient pas au nombre des matériels autorisés à figurer dans un fourgon des Ponts et Chaussées digne de ce nom. Il en conclut que cette administration devait être résolument et rapidement modernisée (...)

[did]

arf drolement inspiré en se moment l ami

[alain]

Du grand Tris, encore encore!!!!

[Etienne]

[gill]

Une vrai merveille, du coup Lavion tourne en rond !

[alain]

Il décolle pas tu veux dire

[did]

aurais t il du plomb dans l aile ?

[alain]

il pique du nez

[did]

ah sa c est le rhume normal avec temps qu il fait

[gill]

[Invité]

Samedi sera le grand jour pour les quelque 5 000 pêcheurs attendus le long des cours d’eau du département à l’occasion de l’ouverture de la pêche à la truite. Le président de la Fédération pour la pêche et la protection du milieu aquatique, René Patau, confirme : "L'ouverture de la pêche à la truite est sans conteste l'événement majeur de l'année qui concerne une grosse moitié de nos 10 000 adhérents"
L’événement, donc, a été préparé avec pas moins de 13 000 truites déversées sur 22 parcours de pêche dite de loisir. Car il existe deux profils de pêcheurs : les sportifs puristes qui iront chercher la perle rare loin des sentiers battus et les adeptes – une majorité – d’une pêche plus accessible et tranquille, ce qui n’a rien de péjoratif.
"Ouverte à tous"
La Fédération se doit, elle, de contenter tout le monde. D’où une gestion piscicole à double vocation. "Un travail de fond, explique René Patau, concerne le repeuplement avec des alevins et truitelles élevées en pisciculture à partir de la souche fario". Ces sujets ne sont capturables qu’au bout de trois ans. "Et un travail plus immédiat, poursuit le président, avec l’entretien des parcours de pêche de loisir et le déversement des truites destinées à être pêchées rapidement".
Deux gestions pour répondre à deux manières différentes d’aborder la pêche. (…)

[alain]

Lecompte restait médusé devant cette scène, là devant lui, il venait d’assister à un miracle comme il ne s’en produit que tous les 2000 ans ,une femme venait de ressusciter là, à Piquebussargues,
Il se mit à genoux devant la miraculée, tentant de baiser ses mains que la belle lui dérobait sans cesse. Il tripotait sans arrêt son gros crucifix et psalmodiait des cantiques, il criait, gesticulait, devenait tout rouge.
Lavion, voyant son collaborateur dérivait fortement dans le mystique, usa de sa méthode favorite, c’est à dire il se mit à brailler si fort que toutes les Cévennes en retentirent, au point que le malheureux loup qui venait juste de s’installer pour fonder une famille, décida de retourner en Italie.
A moitié sourd, Lecompte se ressaisit, et lâcha enfin son crucifix, La belle Parisienne le regardait fixement, le prenant pour son buraliste et lui disait, rajoutez-moi aussi le Figaro.
Le camion de pompier arriva enfin, au côté du chauffeur, le maire gesticulait tenant une carte à la main.
Vous en avez mis du temps tonna Lavion
C’est la faute à Monsieur le Maire, il lit les cartes à l’envers.
Pfutt lui répondit le premier magistrat, qui est cette donzelle ?
On ne sait pas, on l’a trouvé-la
Dans cet état ? Pourquoi est elle couverte de boue ?
Heu c’est un peu long à vous expliquer
Si moi je peux répondit perfidement Coni, qui ne put continuer plus, Lavion venant de le précipiter dans le ravin
Ciel quel maladroit, regardez la chute qu’il vient de faire, Lecompte prenez le en photo, cela pourra toujours servir, en plus il vient d’atterrir dans un épineux, le pauvre.
Pendant que Coni couinait comme un goret, la fine équipe transporta la pauvre victime à l’intérieur de l’ambulance.
Allez hop direction la mairie,

[did]

lol

putain je ferais bien un morceau mais j ai du mal avec qui est qui dans tous sa en faite cette histoire je l ai pris en marche comme le catalan qui lui par contre a encore rien compris a l histoire et viens a chaque fois nous planter du n importe quoi au milieu

[Invité]

lol

putain je ferais bien un morceau mais j ai du mal avec qui est qui dans tous sa en faite cette histoire je l ai pris en marche comme le catalan qui lui par contre a encore rien compris a l histoire et viens a chaque fois nous planter du n importe quoi au milieu

Oui me ça me fait piss... de rire et c'est le plus important, quand je fais un conn. comme ça j'en ai les larmes aux yeux en pensant aux visages dépités des camaarades! (bien patient je dois l'avouer) . J'imagine le pauvre Etienne qui sait jamais s'il doit laisser ou enlever mes conneries en calculant combien de membres elles peuvent lui faire perdre . mais je vous aime à tous.
Did; Je mange à midi avec le représentant de la Shem!

[did]

ben bonne appétit moi je bouffe avec ma femme des patate à l eau

[alain]

en fait il y a 2 histoires, la première parlait d'un vol de truite dans le beau village Cévenol de Piquebussargues et la gendarmerie en fut saisie par le maire Mr ROCHE ETIENNE. Les 2 gendarmes le chef LAVION GILLES et son adjoint le merveilleux, le brillant, le talentueux LECOMPTE alain, ensuite tout s'est rapidement embrouillé, un meurtre nous fit aboutir dans une librairie tenue par un farfelu qui torturait un employée de la DDE (bon anniversaire), l'insituteur HUGUES MINE suivait l'enquéte, nous croisons un tanneur bizarre venant du Cantal, ensuite nous aboutissons sur l'Aigoual aprés que Lavion se soit entretenus avec un pigeon puis tout bouscula aprés l'intervention de 2 jeunes forumeurs
ensuite une 2 eme aventures s'est crée, c'est la découverte par les gendarmes d'une Parisienne qui ne prononce que ces 2 mots MU MU aprés interventions brillante de la DDEet transfert de la malheureuse à la mairie, voila affaire à suivre

[did]

et celui la c est qui Coni

[alain]

A mon avis c'est un membre qui vient de fêter son anniversaire

[did]

ayez j ai mal a la tete

mu mu ayant du mal a se remettre de sa mésaventure lavion chuchota a sont adjoint lecompte et si elle souffrait d une autre pathologie ?
ils en avisérent mr le maire roche qui décida de l orienter vers le plus proche hopital . didon et joyan chargere la pauvre femme dans le fourgon de la dde pendant que coni démarré en trombe
sur ce fait l instituteur qui avait installé un étau de fortune sur une vielle souche pour monter deux ou trois mouche car la pov fille ayant remué la vase et activé une éclosion d insecte , la riviere bourgeonné de gobage et il voulais sans plus attendre taquiner le barbeau ,bien mal lui en pris car il se trouvais dans le champ d ouverture de la porte arriere de la fourgonnette et au demarrage intempestif de coni la porte le heurta a la tete des bouillouses et l assomma
lecompte hurla comme un goret comme a sont habitude ,et coni voyant l étendue des dégats fit marche arriere et roula sur le pied de lavion qui lui mis un grand coup de pied dans la portiere (geste qui devrais lui couter chere de détériorer ainsi un materiel d etat encore sous credit )
le tableau etait plutot pas triste mumu gisait allongé sur le goudron a coté de l instituteur pendant que lavion sauté a cloche pied au dessus des corps et chuta au numero 6 de la marelle
yoyo et lecompte commencèrent de charger les trois blessé et didon qui c etait collé un tour de rein pour soulever l instituteur pas que lui meme soit lourd mais il avait toujours dans les poches deux étaux rotatif ,2 kg d hamecons et a peut pres 3 a 4 kg de foutra de plume de matériel synthétique pour le montage de ces mouches

coni démarra plus prudemment cette fois si
mr le maire et lecompte ouvrais la marche avec la voiture de la mairie facilement reconaissable au deux fanion bleu blanc rouge sur le capot , vers l hopital le plus proche arrivé aux urgence Jean paul house donna l ordre que l otn pratiqua une coloscopie sans anestesie au maire car celui si venait de lacher une perle vraiment nauséabonde (suite surement a l ingestion d un pain a base de seigle ) pendant que abby faisait des analyse , ducky se frottais les mains se demandant s il aurais le droit d autopsier les corps

pendant se temps la joyan qui avait ramassé les mouches perdu de l instituteur avec une branche de noisetier et deux bouts de crin de cheval arraché a un barbelé commencé a monter un canne a mouche de fortune il sortie de sa poche un vilain moulinet acheté surement dans quelque foire ou brocante pour la modique somme de 200 euro alors qu il n en valais que 50 tous au plus
ces doigt tremblé car les éclosions et les gobage etaient impréssionant et laissais présagé une peche miraculeuse
il s avança doucement d abord en rempant tel un sioux qui veut surprendre un bison ,puis se releva doucement et d un geste maladroit il fouetta sa mouche sur l eau faisant un légé splash ,mais il fut suivit par un plus gros splash car joyan en équilibre sur les genoux sur la berge ou mumu etait sortie de l eau venait de glisser sur le terre fraichement battu et mouillé
et il piquant tous droit tete premiere dans la riviere .....

c est se moment la qu une petite société la shemonyou possédent un petit barrage en amont en profita pour ouvrir ces vanne et lacher des trombe d eau
une coincidence ou un desir de vengeance car joyan avait mainte fois eu maille a partir avec cette société qui voulait passer le trop plein e la riviere dans une tuyau pour arroser les jardins de la municipalité vosisine

mais cela laissé présager uen enquete ultérieur de notre brigade de choc enfin une fois remis sur pied ...

[alain]

trop bon : la suite , la suite
ici la tour de contrôle à vous lavion

[gill]

trop bon : la suite , la suite
ici la tour de contrôle à vous lavion

Non, ou il me remet MON avatar .......................... ou je le ratatouille !! le plât de cote !
Non mais !!!!!

[gill]

J'attends

[Etienne]

J'ai trouvé ça, il n' y a que Hugues qui n'a pas eu son avatar de modifié bizarre ......
J'ai trouvé un avatar plus approprié qu'un squelette pour moi

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