Les récits médiéval de la pêche à la mouche

[gill]

Epitre aux Corinthiens a écrit = Je suis complétement innocent sur ce coup là !!!!!! ben voyons
donc je résume ; une sortie de péche , une prise d 'otage dans un roncier, sans tire bouchon !!!!
des épines qui s' amourachent d' un waders ! ( n' était ce pas plutot des amazones )
pas de vin, et le sécrétaire droit comme un I , psalmodiant un verset du " pécheur à st Pierre " jette ton filet , prend ces poissons et porte ce tribu à ton roi !!
Si votre prochaine sortie, s' éffectue sur le gave de Lourdes, Je suis des votres, accompagné de mes appareils photos !!!! en noir et blanc bien sur !!

[Etienne]

le sécrétaire droit comme un I , psalmodiant un verset du " pécheur à st Pierre " jette ton filet , prend ces poissons et porte ce tribu à ton roi !!
Si votre prochaine sortie, s' éffectue sur le gave de Lourdes, Je suis des votres, accompagné de mes appareils photos !!!! en noir et blanc bien sur !!

arrete chut alain ira pêcher dans la grotte il fera une truite et la un vrai miracle se sera produit
Et ne me parle pas de lourdes je ne pourrait pas y aller cette année y déja Robert qui me taquine avec une sortie sur gedre en compagnie d'Helmet par contre on risque de faire une sortie sur les lac fin juin debut juillet sur les campo et carlit si pierre confirme la destination .

[alain]

Bande de mécréants, j'irai pêcher dans cette grotte et en séche uniquement oui messieurs ! et lorsque je sortirai une belle mouchettée de 90 .60 90 heu ! je veux dire de 60 cm la oui ! vous crierez au miracle et vous vous mettrez à genoux tant l'émotion vous terrassera et vous me direz nous te suivrons partout car tu es vraiment di vin

[gill]

L' un de vous peut il me rassurer, et regarder si mon neveu n' a pas de tonsure sur son crane !
A moins qu il ne soit anadrome, et ne veuille retourner aux source de " lumiére ", voir la longue dame blanche !
Il est DI VIN ; Prendre un cierge de plus de 60 dans la grotte, pas bien difficile , enfin lorsque son rève s achévera, faite le voir à un ophtalmo , et au Dr House , ( peut étre prend il des substances halucinogènes, .... des champignons, de l herbe de bisons ) Pfffffffffffffff, un garçon, si bien ,quel dommage ma bonne dame !!!

[alain]

C'est vrai qu'au fond de la grotte, dans la lumiére vacilante des cierges, j'ai vu assis sur son pliant de pêche un vieux sage qui lisait des vieux grimoires. Je me suis approché tout doucement pour ne pas le déranger, à ses pieds dormait un Grand Duc juché sur sa vieille canne en bambou refendu (vous imaginez le nombre d'années qu'elle devait avoir). Il ne m'avait pas entendu arriver et je l'entendais grommeler dans sa barbe blanche, ras le bol des livres anciens, des Del Pozo, des Rocher , des Pequegnot, tous dédicacés, il me faudrait du sang neuf pour pouvoir enfin terminer la documentation pour aider un Catalan à réaliser l'histoire universelle de la pêche à la mouche.
M'ayant aperçu il me demanda ce que je voulais:" des conseils vieux sage"
Il entendait mal, et me répondit " non ce n'est pas une sage, je déteste le carbone , allez viens je vais te montrer ce que font les vrais cannes"
nous descendimes prés du lac, il secoua le Grand duc profondément endormi qui tomba brusquement dans l'eau et il commença à fouetter.
"mais quelle est donc cette soie oh grand maître ? "
il entendait toujours mal "quel exploit mais pas du tout, c'est facile avec une soie naturelle
hélas, cette soie vénérable ayant atteinte sa limite d'age, se brisa et emporta dans les limbes le bas de ligne ainsi qu'une curieuse mouche cul vert

la suite au prochain épisode

[gill]

Frére Alain vit alors le Sage s'animer doucement, faire 2 pas vers l' aval, pointer sa canne sur l'onde . Des cristaux émeraudes illuminat le regard du vénérable. Son anneau de pointe accrocha la soie qui ondoyait dans la chevelure sybilline de ces renoncules . Il prit 2 cheveux blanc de sa longue crinière, éffectua une épissure de ses doigts diaphanes. Amoureusement, il sécha et graissa la soie de la marque " le divin" . Derrière ses lunettes, novicia Alain ,attentivement et mains jointes , imprimait sur sa rétine, les gestes lents mais prècis du Sage . Bas de ligne refait , la soie déployée se posa devant un baiser humide, dont les rides s'évanouissaient vers les fleurs de renoncules . Alain, le nez dans l'herbe, parle aux fleurs, l'air trempé de parfum dont il s'énivre, fixe sur son épiderme les effluves volatiles des résines qui passent en ondulant . La spéciale "Alainite " made in plume de grand duc, navigue vers ce rond prometteur, alors le " vénérable " reléve son bambou et de ce regard à la' X- files" se tourne vers son protégé , et de cette voix douce lui dit : Conquètes faciles ; plaisirs de sots !
Prend, lance, cette truite et pour toi .

La suite au prochain N°!!!!!!!!!!!

[alain]

le disciple, prosterné, ne comprenait pas ce que le Sage lui disait "plaisir de seau" ? pourquoi parlait il de seau, avait il soif, car en regardant bien sous son chapeau on voyait qu'il transpirait ferme, faut dire qu'avec une telle canne envoyer à plus de 5 métres relevait du miracle. Quelle tristesse qu'une aussi belle intelligence ne s'accomode pas du modernisme, si toute l'humanité était restée au stade primaire, nous nous taperions toujours à coup de massue. Mais comment lui faire connaitre la quintessence du lancer ?
Le Sage voyant son disciple le front soucieux pensait qu'il était béat d'admiration "ha se dit il, c'est beau la jeunesse je lui ai montré le chemin, il pourra continuer sans moi car il m'a l'air bien adroit"
Le disciple sortant de sa torpeur demanda au Sage s'il avait soif et s'il voulait qu'il lui porte une coupe ?
Le Sage toujours aussi sourd ne compris pas la premiere phrase et n'entendit que Coupe. Ha Tu as donc tout compris mon neveu, en effet c'est le Saint Graal que je tiens entre mes mains, il est transmis de pére en fils tous pêcheurs, et il faut avoir pêché drolement toute sa vie pour le mériter, si je te racontais tout ce que j'ai du pêcher pour le mériter Aprroche prés de moi, je vais te dire tes devoirs:
Un bambou de l'année poussé au fin fond de la Bambouseraie d'A e tu iras cueillir
Tu le fendras délicatement tout en poussant le hommmmmmmmm des moines boudhistes (trouves toi une grotte assez éloignée des mortels).
aprés avoir ligaturé tes anneaux, taillés dans les cornes de bélier, avec du rafia.
tu le verniras grace à la mixture suivante: 2 doses de venin de crapaud, 1 dose de vin nouveau de l'hérault, 3 doses de brandade, 5 g de cervelles d'éléves ingénieurs.
a la pointe de ton laguiole ton nom tu graveras.

la suite ...............

[gill]

le sage ,avec se regard qui n'appartient qu'à lui , se mit en lévitation ,hocha sa téte négativement, siffla doucement . Le picvert se posa sur son bras, murmurant
des paroles inaudibles pour le noviciat, l'oiseau de couleur , piqua cranement sur Alain, pendant que le vénérable, récitant les psaumes des apotres ( 1er vèpres )
dit ceçi :Dame fario, vous m'aviez donné 5 talents , voici que par surcroit,j'en ai gagné 1 autre ! Le picvert faisait entendre à coup de bec, les paroles de son
maitre. Alain, honteux, se mit à genoux , planta le couteau en terre,cassa son carbone, le découpa en morceaux y fit des petits trous en lieu et place des anneaux, introduisit dans le cylindre, une feuille de chène, et portant cet objet à ses lévres joua " la truite de schubert " .
Alors le Sage dit à peu prés ceçi : Bon et fidéle serviteur, entre dans la joie de ton maitre .
Alain méconnaissable, en habit de lumiére, porta la Canne de bambou, la déposa dans la grotte, et s'en alla préparer le souper , remplie la coupe
de vin du Gard " de la narine, ( c' est nous les gars de la narine , chanson trés répandu à l'époque , par les snifeurs de composite) , et grava de son laguiole
la mouche alainite, dans le roquefort . Le picvert , qui avait fait l'école de la nasal, s'éloigna du fromage .
A.................

[alain]

Malheureusement le Pic vert était un vieux modéle Airbus qui n'avait jamais été homologué du fait de ses nombreuses malfaçons dues à un technicien facétieux, plus habitué à dormir et à lire ses revues dans la carlingue qu'à l'aménager. De ce fait on ne peut guére porter crédit aux dires de ce drôle d'oiseau qui prenait les vessies pour des lanternes ou plus concrétement on lui faisait gober n'importe quoi, qu'une canne fabriqué à partir d'une graminées pouvait lancer plus loin et plus en douceur qu'une canne en carbone issue de la meilleure technologie, vous voyez l'état de ce pauvre volatile (d'ailleurs vola t'il un jour ? ).
Si le pauvre frére Alain entra dans la grotte c'est pour ranger tout le bordel qu'avait laissé le sage durant sa retraite, et il y en avait:- Des bouts de grimoires d'une aristocrate du moyen age (tiens d'ailleurs ne serait-ils pas contemporains tout les deux ?)
-des plumes de vautour arraché lors d'une attaque chez un négociant de Perpignan.
-de la fourrure d'ours (il ne voulut jamais dire comment il se la procura)
-du cul de canard (et d'autre personne que la décence m'interdit de nommer)
-au fond de son jardin, là où il pensait que personne ne le trouverait j'ai même vu des bouts de canne en bambou qui lui servaient de tuteur pour ses tomates (des St Pierre). pas une mauvaise idée d'ailleurs il faut bien que cela serve à quelque chose.
- et même mais la personne ne me croira, dans un vieux coffre était rangé un appareil photo argentique Si! Je comprenais mieux pourquoi on ne voyait aucune trace de ses prises
la suite..........

[did]

pfffffffff une sage + des mouches de cirque avec sa je parie que vous étiez bredouille


salut les folles me voila

[Etienne]

pfffffffff une sage + des mouches de cirque avec sa je parie que vous étiez bredouille


salut les folles me voila

c'est qui lui,
non pas lui non ne me dites pas que c'est lui l'ours du cantal, il l'on introduit sur apml et il va envahir les berges du gave

[did]

hihi double post etienne

[gill]

Ah, ce bon St Pierre, a entendu la voix de St gilles ........

Salut à toi , Nounours .Que les dieux de l'Auvergne te soit farorable .

[gill]

Aprés avoir gouté la préparation culinaire du noviciat et quelque peut perturbé par cette journée , le sage, fuma des inflorescences de tilleul dans sa pipe en bambou .
Son esprit en éveil, mais encore sous l'influence des condiments alimentaires, dessina mentalement l'organisation d'une toile d'araignée ; voyons, 1 axe central, des rayons , des spirales internes ! ( flux) mais se serait un piége ignoble , redoutable pour ces pauvres bètes .Non, je ne puis dévoiler cet engin......... RON..ron..ron . Il venait de s' assoupir . Ronflant légérement, d'étranges signes graphiques sortaient de ses lévres . Alain cessa de jouer sa berceuse, regarda, et l'oeil narquois, aspira avec sa flute, les notes du sage, qui flottaient dans la grotte .
Il chercha un tiroir dans son cerveau mais celui çi passablement endolori ,par le picvert ( qui cherchait des vers pour ses poèmes, il prendra plus tard le pseudo de Jacques Pivert ) refusa de s'ouvrir. Ayant remarqué dans une coupe un beaume, dont le sage frottait ses membres douloureux , avant de pratiquer ses exercices sur des bamboux paralléles ( brevet qu il déposa aux cirques Amer et Pindar ) il s'en frotta le cuir chevelu . Le tiroir s' ouvrit. A mesure que les notes entraient , Novicia tentait de les déchiffrer . Ouais, il y avait bien tous ces grimoires, mais lequel donnerait la clef, de ces signes cabalistiques .

A............

[gill]

Le vénerable , en son sommeil , jouait au jeux des cinq pucelles, contre Henry II.
Il cauchemardait, dur l' ancien, aussi tout léger comme oiseau, à pas feutrés , se préparat il sa coupe matinale pour le déjeunér(h3oCvert) Il sortit , siégea dans son pédicule, s'étrilla , quand tout soudain, Alain se levant, vit le sage avec de l'eau à la taille, n'écoutant que son courage , celui ci plongea dans le pédicule..... !
Le sage se leva, sa coupe de nouveau pleine , hocha la tète, et demanda à noviciat le pourquoi de sa bévue !! Alain toutes dents rentrées, langue contre son palais, qu il avait décoré comme la chapelle 6tines, lui dit : j...cupa d,ine cof ....eau , us hate.
" se qui en françois voulait dire : mes respects maitre, il me semblait que l'eau était plus haute, et vous méme en danger .
Je ne dit mots ni miette, mais entendit frére alain .. arch..gné ....tè ``cupaééé che
cheudro....pfchtron
traduction : Ah, si vous saviez comme cette étuve est bonne !!
Le sage alla dans sa grotte, alluma un cierge rouge entra dans un boyau, et lava au chlorure de ( sho5 st vrt ) ses grimoires .

A...........................;

[gill]

Ensuite, il rinça ses peaux à la source, les exposa à la clarté de la derniére étoile qui pàlissait du coté de l'ouest, tandis qu'à l'est un rayon de soleil soulevait les derniéres fumerolles du mont-ludique. Qui plus tard deviendra le mont Vin tousse, et que gravira la descendance du noviciat* sur des bicycles en boyaux de chat .
Les peaux séchant, pincées entre des cotes d'aurochs, apparut des dessins de salmonidées, comme décalqué, en sépia, et en noir et blanc...( le secret en ai encore jalousement gardé) L'ancien s'en retouna vers Alain, et peut ètre lui prodiquer quelques soins .A genoux , mains sur la téte, faisant cercle autour de Novicia, les parchemins du " Parfait moucheur, et autres agrément " livraient leurs dessins et montages au "jeune " . Tous tiroirs ouvert les mouches et fabrication se rangeaient dans son cerveau. Toi qui a la bosse des maths ( en plus de celles du pédiluve)lui dit le sage, imagine 1 cercle avec des dents au milieu " Ou'nnfr ou...en tée" une roue crantée !, oui si tu veux . Penses tu qu'une tel machine pourrait tisser nos racines et nos soies !!
" A..ch``r ai pu..i bl in eu " Ce serait ingénieux . La fin de sa phrase fut couverte par le bruit d' un biplan Aircar à hélices . Le pilote en casque de peaux et lunettes les salua de l'aile droite, prestement le sage entraina novicia à l'entrée de la grotte.
L'oiseau bruyant piqua droit sur eux et balança un paquet qui roula jusqu'à leurs pieds .

* La descendance de Noviciat, vous sera expliqué dans un autre grimoire .

A........................................

[alain]

Devant de telle preuve d'archaisme, frére Alain décida d'ouvrir le vieux sage au monde moderne.
A l'aide d'arguments frappants (un gros bambou pas refendu) il l'endormi et le téléporta au club de pêche de st christol lors d'une séance de montage de mouche.
le vieux sage se réveilla et n'en crut pas ses yeux, devant lui une curieuse cérémonie se déroulait, assis prés d'une table en chène massif officiait le grand maître H.....il énonçait ses commandements d'une voix ferme et receuilli devant lui son disciple E....... notait tout à l'aide d'une plume de faisan vénéré sur un parchemin (seule concession aux traditions), à ses côtés un camescope tournait et gravait pour l'éternité ses conseils.
-du fil 8/0 uniquement entendit il ,faiblement car il avait curieusement mal au crane et ses pensées étaient un peu brouillées.
Le grand maître tout de blanc vétu ponctuait ses affirmations à l'aide d'un tromblons lorsque son disciple avait la tête ailleurs (sans doute en train de se rappeler une blague un peu osée ), ils ne nous avaient pas encore entendu venir et parlait entre eux
"voix tu disciple la tête est le plus important, tu fais toujours une grosse tête, d'ailleurs tu n'en fais qu'à ta tête "et il tira un coup (de tromblon) pour bien faire prendre conscience au disciple de son premier commandement.
le vieux sage éberlué, ne comprenait plus, devant lui des merveilles étaient posées sur des présentoirs en acajou massif, toutes étaient faites de la main de l'homme et pourtant quelle finesse, le poil dur, la plume saillante, le tinsel triomphant, le cuivre rutilant, mille feux clignotaient devant lui, des hameçons de 8 jusqu'à 50 (seul le grand maître pouvait monter cela et avec une main derrière le dos)
il ne put s'empecher "ecce homo" dit il et ce qui ne lui était jamais arrivé jusque la, il pleura devant de telles beautés, il s'empara aussitôt d'une paire de ciseau pour découper un pan de la tunique du grand maître et se la cousut immédiatement sur la poitrine.
et la devant ses yeux éberlués, nous lui montrames les cannes en carbones, la soie synthétique, les mouches modernes, et même nous l'initiames au numérique.
ce fut un homme transformé qui nous regarda dans les yeux et nous dits " merci! merci les amis! je m'aperçois que je ne savais rien!"
Il demanda à entrer dans notre club, et malgré son niveau moyen , le grand maître ainsi que le disciple Président furent faibles et l'acceptérent "entre ici Gilles entre ici, avec ton terrible bambou refendu. Avec tous les poissons qui sont morts dans les caves. Entre, avec les pecheurs d l'ombre - " je reconnais ce discours me rappellait un autre mais bon..........

[gill]

L ' ancien, le sourcil brousailleux , le neveux en bataille ( le cheveux) revenait d' un voyage en absurdie . La téte pleine , les joues creuses, et les mains vides.
" je reviens de chez Moche et faux bois"tout n'est que brillance et parvenu , comment ce faisse, en nos jours que de tels gens, illumine leur masures , en astiquant des métaux !!!!

O rage O désespoi............................. poi...........;;;;
A demain peut étre ...................
un orage de 1 er m oblige momenténant à interrompre ...notre ..................;

Heu c est vrai , il tombe des cordes et le reste

[gill]

Le vieux, ruminait sec ,tout esbaudit et endolorie, ouvrait les peaux envoyés par le pilote OS' Scoda . Ah, bonne mére des arts, des mouches et des plumes, le 1er grimoire " pour une poignée de mouche "était de Aristojaumien 1er qui instruisait en sa bonne ville de Perpigna et du marais Poitevinario, les autres , de sages Irlandais , en terre d'Eire, car ils avaient changés d'Ere * , et chantaient un nouvel air " l' air de rien " . " Pour quelques mouches de plus "de Did O' puymarie , de l'influence " du cdc, sur l'onde aquatique " de O' Hisslemustag , " la mouche et le malt " de O' caviste lécossais . Ah, enfin elle était là, l' invitation pour la Mayflie , de lord cénevol
qui demandait au sage de bien vouloir l' honorer de sa présence, pour enfin, pècher les riviéres de son comté .
Le sage souffla de l' oliflant, 3 coups bref, donna un message au picvert, qui parti plumes au vent, préparat ses cannes et sa toge de péche, lia le tout, et parti avec son àne, vers les terres d'Albion . Noviciat restait à la grotte, car ses études , le retenait .

* le siécle

e de dame Juliana s' ouvrait

*J. Dutronc

[Etienne]

Chemin faisant, le vieux sage apercu un cerisier au loin, sur les de pierre l'hermitte d'absurdie.
je vais me dilecter pensa le vieux vieux sage, mais quelle fut sa surprise une echelle etait en place et en metal de chez Moche et faux bois.
il s'arreta au pied de l'arbre et vit dans le cerisier, maitre Hugues le contour des lèvres rouges remplir une bourriche et au pied de l'arbre, le disciple regardait d'un air pensif le maitre sur sa branche qui pliait , (pensée du disciple " si la branche pête le maitre tombera et dans un grand PLAF il s'etalera"). Les deux gourmands n'avait pas vus le vieux sage arrivé...
le vieux vieux sage leur cria brusquement "ola brave gens de chez Moche et faux bois que faites vous loin d'absurdie."
.....................

[gill]

Les noyaux volairent en tout sens , crachés par des lévres purpurines . Me O' Hisselemustag le regard courroucé, se demanda ce qui pouvait bien amener le vieux sur son chemin. " C 'est pour la couleur, se rouge m' inspire ;certaines mouches au soir de leurs vies, prennent cette teinte rouge ."
Oui, bien vu, ( hum, il va falloir la jouer serré, Me O'Hissele mustag semble posséder les notions du petit coloriste )
Quelques cerises pour ton voyage ? Le sage acquiéssa , et la bourriche descendit . Se délectant de ces bigareaux , il jetta , un regard vers O'H........ . Alors que faites vous , si loin de vos terres ? Nous allons en terre d'Albion , sur invitation de Aristojaumien 1er .
Décidement ce n' était pas sa journée, au vieux . Des coups de bamboux sur la téte
des noyaux de cerises plein les cheveux, et maintenant Me O'H .... et sa bande qui montaient en terre d'Angle !!
Je me rend moi mème en ces lieux , joignez vous à moi ; et passons par le pays breton, prendre 1 barde de nous amis , du nom de H. Taouen, qui a beaucoup écrit sur l' Irlande . Picvert, écoutat son Me, et d' un vol rapide se dirigeat vers la grotte .( est nord est , par rapport au cerisier )
Noviciat , nous rejoindra en pays Aquitain, je ne puis le laisser seul ! ( gros soupir du sage )

[gill]

Picvert et grand duc se relayaient , de jour et de nuit, pour prévenir Noviciat .
Celui ci , avait une réunion à 10h ce matin mème, avec des arpents de vignes, propriétaires en ces vignes .
La petite troupe se dirigea vers la Margeride, coupant au plus droit, vers les terres plus chaudes ( Pffff raz le bol de la pluie et ses tempétes ) Le soir vint , la brume couvrit l'horizon . Le sage adossait à un pin noir comme encre , regardait le feux et ses nouveaux compagnons , relevant sa téte , contemplant la course des étoiles,écoutant d'une oreille ( la 2 iéme portait des coups de bamboux )les cours de montage d'une mouche en taille 26 , il s'assoupit .........
Puis vint la matinée rayonnante , le brouillard s'éffiloche , mille éclats sur les arbres , moutonnement sur les genets d'or , collier de rosé sur les anémones . Quels senteur en ce lieux ; violettes , jonquilles, narcisses,parfums énivrants , derriére chaque rocher, luit le Chapeauroux , soie mouvante , ballet aérien de belles ailes blanches, qui se posent entre les chevelus , de l'eau au arbres , des arbres aux fleurs ,des cieux à l'eaux naissent , aiment ,et meurent . La passion, c'est le cri de l'aurore *..... Debout fréres moucheurs, une aube nouvelle vous attend

P' tain , je suis crevé sur ce coup .......
* trop fastofe, le vieux consulte ses albums photos , et la nostagie à cet àge, et trés trés poètique, à demain peut étre...;

[gill]

La troupe des tontons moucheurs, s' avança en devisant gaiement, sur les berges marécageuses du Chapeauroux . Un refendu , et autres gaules synthétiques
dessinaient , dans cette matinée mouvante, de belles arabesques !( surtout le refendu Les soies s' arrachaient de l' eau , se posaient ,avec tout en bout des promesses de friandises, que viendrait saluer nos hotes aquatiques .
Le feu crépitait , la lauze chauffait, impatiente d' acccueillire le diner de sa troupe .

[alain]

« Quand reviendra le temps des cerises »…..chantonnait frère Alain
Crac l’horloge intemporelle de nouveau se dérégla. il fut projeté de nouveau dans les couloirs du temps et atterrit au pied d’une foule. Il s’approcha pour mieux voir et discerna une belle dame vêtue comme sur les tapisseries des châteaux et, à ses pieds un jeune troubadour lui jouait sa ritournelle, il était vêtu tout de blanc avec un grand chapeau sur lequel nichait un pic vert.
Frère Alain lui prêta l’oreille (il était assez radin) « oui bof, il peut prétendre à l’eurovision mais pas plus » des vers de mirliton du style « ho ma belle dame ho ma Juliana ! Tes cheveux sont fins comme de la soie 4.
A ces côtés un jeune chinois battait la mesure avec un bambou, ce qui avait l’air d’agacer prodigieusement le chanteur, qui lui confisqua ce bambou en se disant qu’il trouverait bien une utilité à cet objet (5 siècles plus tard, il n’a toujours pas trouvé !)
Mais soudain la vérité lui apparut, ce pseudo chanteur était en fait le sage dans sa jeunesse et il était amoureux de Dame Juliana, ce qui explique son engouement pour les choses anciennes et surtout naturelles.
Soudain un tumulte le sortit de ses pensées, deux gardes firent leur apparition avec deux prisonniers.
Stupeur c’était le grand maître et son disciple, mais dans quel état, la robe tachée de cerise, le nez égratigné par les ronces, et le disciple qui tenait un panier rempli de cerises à la main avec un chaton roux qui sortait sa tête!
Dame Juliana les interrogea « mais que faites vous céans »
Le grand maître » nous sommes venus ici pour récolter du crin de cheval, de vieux hameçons et un bout de laine de votre robe »
Diantre serait-il fou ? se dit elle « et pourquoi faire en regardant le disciple
« brouf » fit il en crachant des noyaux de cerises
« Pour faire des mouches médiévales commandées par le duc J.miguel le grand » fit le grand Maître
« Je ne connais pas ce personnage, et c’est quoi des mouches médiévales, à quoi servent elles ? »
« Pour tromper la truite sauvage belle dame » dit le grand maître tout en tapant violemment dans le dos du disciple qui s’étouffait en avalant les noyaux.
Quelle belle idée, vous me donnez envie de la tromper avec vous.
Dzing ! Le troubadour fit une fausse note, la jalousie commençait à l’envahir, quoi s’intéresser à attraper du poisson qui pue alors que je lui parle d’amour »
Dégoutté par tant d’injustice il se leva, trébucha sur le bambou et tomba à la rivière.

[gill]

Nageant vers la dextre, le sage sortit de l'eau, la face fort rembrunie et le sourcil arqué. Il s'en ramentever de cette journée, en compagnie de dame Juliana, de l'horloge intemporelle, de ce cheminement dans le couloir du temps !
Le manoir de la dame, ces tapis, tentures et, meubles de prix. Cette foutue robe de soie pourpre, enrichie de rinceaux et entrelacs, brodés d'or (hum, était-ce jaune d'or ou jaune or ?) dont il fallait, par ruse ou par adresse, en soutirer des fils et ensuite en noter les couleurs sur parchemin (voire les centuries) Me Hisselemustag avait fendu sur 2cm, par le milieu, un bambou et avait coincé un hameçon qu'il garnissait de soie et plumes. Un jeune chinois, deux baguettes de bambou en main, manipulait ceux-ci habilement et s'en servait pour porter en son bec les victuailles.
Et mon Noviciat, mon élève en pamoison, déclamait des vers et avait grande imagination à tourner des compliments aux chausses de ces dames. Le pied sur l'escabelle il chantonnait : "la fleur que tu m'avais jeté" et, PAF, il prit le vase de violettes sur la tête. La viole et le clavecin se turent.
Corneboeuf, s'écria le sage. Le silence en ces pièces aubussonnées se fit palpable. Le jeune vieux sage s'adressait à dame Juliana : " enfin ma mie, faut-il vivre comme nonne parce que fille est facile ?
Oui damoiseau il le faut ! Je me retire au couvent des "soeurs hameçonnées" et vais transcrire - Mes amusements et montages de mouche - que je vous prie de porter à Aristojaumien 1er qui roule carrosse vers les terres de Lord Cevenol. "Demain à l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, je partirais" lui sussurai-je tout en mignonnant ses bras, son cou, son parpal et lorgnant son lit clos. Que nenni mon beau, vous partez sur l'heure !
Noviciat hèle le carrosse, on se "tire" !!!

A ..........

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